mercredi 13 janvier 2010

Evènement : Happy new year (comment disent les britishs) !

Il paraît que tout bon chroniqueur doit prendre soin de ses chroniqués. Donc commençons cette nouvelle année sur de bonnes bases en vous souhaitant à tous une très bonne année 2010. Je vous adresse tous mes vœux les plus sincères, avec tout le relativisme que contient cette si belle formule. Nous l’espérons tous, je le suppose, de passer une meilleure année que celle passée.

J’ai espoir en tous cas que cette nouvelle année sera l’occasion d’honorer bon nombre de bonnes résolutions malgré l’ironie de début d’année. J’ai foi que la 10e année de ce XXIe siècle soit synonyme de changements dans la vie de chacun, c’est tout le bonheur que je vous souhaite.

 

BONNE ANNEE EN R.C.E. !

 

rEnOi

samedi 26 décembre 2009

Cinéma : Avatar: Pleins les yeux !


Poster d'Avatar (2009) de James Cameron.


Même en RCE on l'attendait avec impatience le nouveau James Cameron. L'homme qui a fait couler le bateau le plus cher du cinéma avec un blondinet dessus est de retour.

Entrons dans le vif du sujet. C'est un J. Cameron en plein dans sa période "blockbusters" avec Aliens, Terminator (1 à 3) qui nous livre Avatar.

Beaucoup craignaient d'un grosse production sans fond surtout après une bande annonce limite trop médiatisée qui ne laissait aucun mystère au film. S'il est vrai que le scénario n'a rien d'original comparé à d'autres production "westernienne" c'est l'univers profond de Cameron qui donne son charme au film. Histoire banale d'un soldat désabusé par la vie qui commence méchant en se raliant aux plus forts et qui par la force des choses...et par amour...se retourne contre ses maîtres pour défendre de VRAIES valeurs humaines.

Néanmoins ce scénarios soulève de vrais interrogations. malgré son flagrant but écologique la question de l'Humain est vraiment posée quand à ce qui fait de nous des humains. De plus le personnage de Jake Sully a une véritable profondeur, qu'il soit coupé totalement de son passé et ouvert comme véritable enfant à tout ce que la vie a à lui offrir le rendent attachant et d'une crédibilité appréciable. Ce qui crée un contraste avec les autres personnages comme Neytiri très attachée à son passé.

Ce qui nous emmène à la beauté même du film. L'univers de Cameron. Le passé de Neytiri et de l'ensemble des Na'vi repose sur des légendes profondes et des croyances simples en un monde avec lequel ils sont en PARFAITE osmose. Sur un pkan technique il est vrai que ce scénario et ces personnages ont une dizaine d'années déjà dans l'esprit de James Cameron. Mais au-delà de ça il a créé tout un monde presque totalement déttaché de la Terre (les allusions à notre planète sont même rares). C'est à la fois un retour aux sources et une avancée dans le futur des espèces vivantes. Le lien qui régit les Na'vi et la nature au niveau physique autant que spirituel est on-ne-peut mieux mené et laisserait rêveur plus d'un militant de Green Peace. C'est là que réside la magie d'Avatar. Cameron a réussi à mon sens le pari de donner l'envie d'en découvrir sans arrêt d'avantage dans ce monde...on sort de la salle avec cette même envie que Jake Sully de rester à demeure chez les Na'vi pour tout découvrir.

Bien entendu il ne faut pas nier que les effets spéciaux résultants des 300 millions de dollars mettent la poudre aux yeux et aident à la séduction. Ce qui compense le léger manque de richesse du scénario.

On reconnaîtra malgré tout un élégant mélange des genres entre histoire d'amour à la Roméo et Juliette, un monde vivant à la Final Fantasy IV, une épopée chevalresque et des humaines véritablement barjos "C'est vraiment un très gros arbre !".

On récapitule en disant que voir la bande annonce c'est connaître l'histoire mais ne pas connaître le monde de James Cameron. Un film à voir sans trop d'espoirs d'être subjugué mais vraiment pour la beauté du spectacle.


rEnOi

samedi 5 décembre 2009

Littérature : Poème d'une brute

C'est une rage sans nom que je renferme.

Un vide qui me déprime,

Le besoin de laisser toute cette violence s'exprimer.

Cette envie de te frapper

De t'entendre crier.

Sentir ta peau craquer sous mes coups

Je trouve toujours ce massacre de bon goût.

Te voir vrier sur chaque temps

Les chaines tendues qui couvrent chacun de tes hurlements.

Je te vois soumise et j'en ris

...C'est toujours aussi bon de jouer de la batterie.


Le prince Jean la plume à la main...?


Extrait de la 4e de couverture - © NOVA EDITIONS


Ma vie, mon oeuvre, mon scooter, signé Jean S. Un pastiche signé du nom de la victime, voilà qui est original! On espérait secrètement que le peuple porte plus dans son coeur l'héritier que le grand chef en titre. Hélas son nom semble lui attirer plus de malheurs que de convoitises.
L'éditeur pour éviter toute confusion ou scandale sous-titre Les faux mémoires du Prince Jean. La blague aurait été à son comble si notre bien aimé fils prodigue avait eu l'audace de se lancer dans ses mémoires du haut de ses vingt et quelques années.
De l'ePad aux mémoires il n'y a qu'un pas, on rêve d'une telle bévue. les auteurs contemporains eux s'en donnent à coeur joie sur le dos de notre grande famille politique digne des plus grands feuilletons télévisés de début d'après-midi.
Quelle malédiction pour J. de porter un nom si lourd de conséquences, on le plaindrait presque.

vendredi 4 décembre 2009

Culture : Exposition Exceptionnelle à Montpellier

     Les arbres de Kant exposés durant les fêtes de fin d'année dans les rues de la ville. C'est la merveilleuse idée qu'a eu la mairie de Montpellier pour faire découvrir aux chitoyens une partie secrète de la vie de Kant. Chacun des arbres blancs présentés en ville auraient en effet appartenu au célèbre philosophe allemand. Ce dernier, dont la vie amoureuse était des plus nazes, allait chaque jour derrière un de ses arbres. Ce qui est dommage, c'est qu'il ne pousse pas de billets sur ces arbres. Car en 80 années d'existence, on vous laisse imaginer le nombre d'entre eux qu'il a pu blanchir...



lundi 30 novembre 2009

Santé : La grippe C/H13N booste les ventes d'ail

     C'est un fait, le phénomène de panique que le gouvernement de la RCE a créé à travers les médias a porté ses fruits. Plus d'un million de chitoyens se sont fait mettre une gousse d'ail dans le fondement pour se protéger de la grippe C/H13N. Petit rappel, l'ail est un composé synthétique découvert par les Chientifiques, qui s'utilise exclusivement comme un suppositoire, en remplacement des vaccins et autres médicaments naturels dont les effets étaient assez peu désirables. Cependant, le ministère de la santé a lancé un appel aux étudiants en médecine pour qu'ils se chargent eux-aussi de fourrer l'anus des patients avec de l'Ail. Les habitants de la RCE ne pouvant le faire eux-même. Les fabriquants d'Ail ont quand même jugé nécessaire de faire signé au gouvernement une décharge de tout problème. Il n'est pas nécessaire de préciser que le cours en bourse de l'Ail a explosé. Qui a dit que la presse n'était pas un instrument du pouvoir ?

vendredi 27 novembre 2009

Socio: Toi et l'anti-toi


Photo d'Anne Geddes. Chaque personne a sa richesse.


Quelques penseurs de la RCE se sont réunis autour d’une question existentielle, quoique relative à chaque personne. Qu’est-ce qui nous permettrait de définir une personne ou une autre comme telle ? Est-ce que notre orgueil personnel nous laisse le droit de juger la vie d’un autre et ce qui en ressort ?

Le fait est que chaque personne est unique. Et l’on apprend forcément plus d’une personne en la prenant à part, détachée de toute autre influence. Chaque personne développe une réaction consciente ou non en face d’une autre personne en fonction de ses aprioris.

Mais il faut garder à l’esprit que chaque personne est le résultat de ce qu’elle a vécu, qu’elle est le complexe mélange de tous les choix qu’elle aura fait et fera encore pour sa vie. Un ensemble qui nous échappe.

Il est important également de ne pas oublier que notre avis personnel sur une certaine personne ne dépend que des circonstances dans lesquelles on l’a rencontré, un état d’âme plus qu’un autre à ce moment précis peut changer la donne de toute une relation. Il n’y a pas de solution miracle ou de mode d’emploi sur comment apprécier une personne plus ou moins qu’une autre, sinon le feeling (et encore il peut changer) ; juste prendre chaque personne pour toute la richesse qu’elle possède. Il y a en chacun quelque chose qui est susceptible de nous plaire autant qu’il y a d’éléments qui peuvent nous déplaire.

Posez-vous la question de savoir s’il vaut mieux s’attarder sur ces petits trésor bénéfiques qui peuvent nous enrichir et qui reposent en chacun ou plutôt grossir tous les défauts de l’autre comme s’ils effaçaient tous les nôtres ? A bon entendeur.

 

rEnOi