lundi 30 novembre 2009
Santé : La grippe C/H13N booste les ventes d'ail
vendredi 27 novembre 2009
Socio: Toi et l'anti-toi
Photo d'Anne Geddes. Chaque personne a sa richesse.
Quelques penseurs de
Le fait est que chaque personne est unique. Et l’on apprend forcément plus d’une personne en la prenant à part, détachée de toute autre influence. Chaque personne développe une réaction consciente ou non en face d’une autre personne en fonction de ses aprioris.
Mais il faut garder à l’esprit que chaque personne est le résultat de ce qu’elle a vécu, qu’elle est le complexe mélange de tous les choix qu’elle aura fait et fera encore pour sa vie. Un ensemble qui nous échappe.
Il est important également de ne pas oublier que notre avis personnel sur une certaine personne ne dépend que des circonstances dans lesquelles on l’a rencontré, un état d’âme plus qu’un autre à ce moment précis peut changer la donne de toute une relation. Il n’y a pas de solution miracle ou de mode d’emploi sur comment apprécier une personne plus ou moins qu’une autre, sinon le feeling (et encore il peut changer) ; juste prendre chaque personne pour toute la richesse qu’elle possède. Il y a en chacun quelque chose qui est susceptible de nous plaire autant qu’il y a d’éléments qui peuvent nous déplaire.
Posez-vous la question de savoir s’il vaut mieux s’attarder sur ces petits trésor bénéfiques qui peuvent nous enrichir et qui reposent en chacun ou plutôt grossir tous les défauts de l’autre comme s’ils effaçaient tous les nôtres ? A bon entendeur.
rEnOi
mercredi 25 novembre 2009
En Bref : Pour la révolution, on repassera...
dimanche 22 novembre 2009
Économie : En RCE, on fraude « à la Carte »
En Bref : les zoosexuels sont les plus grands lecteurs de presse quotidienne
Scoop : Robin des bois s'est fait avoir par le Prince Jean
Même en RCE (République des Chiens Ecrasés) on a entendu parler de cette nouvelle célébrité des bois. L'homme le plus recherché de ces deux derniers mois, celui qui est passé à deux doigts d'avoir une prime sur sa tête. J'ai nommé l'insaisissable Treiber Jean-Pierre. Une cavale forestière plus que romanesque qui a fait vibrer toute la RCE. Allez savoir si l'a fait volontairement d'écrire ses premières lettres à la Marianne, on en serait presque à se demander s'il n'attendait pas le retour du roi Richard Justice semblant être allé se promener.
Mais le mythe s'écroule ce vendredi. C'est dans un appartement à Melun que "l'Homme des Bois" à été interpelé. Une décéption pour beaucoup qui le voayaient déjà l'arc à la main défiant notre Hulot national. Ce dernier qui ne se privera pas de vanter les mérites de la police qui n'aura mis QUE deux mois à appréhender un suspect que même nos confrères journalistes semblaient appercevoir plus souvent.
Cependant une question me brûle les lèvres: un homme qui arrive à échapper à la police pendant deux mois, accusé du meutre de deux jeunes femmes retrouvées dans son jardin est-il si innocent qu'il le prétend? Rien ne laisse prétendre dans ses actes qu'il ai la conscience tranquille. La Justice nous l'espérons tous tranchera, mais il reste flagrant que le Treiber des Bois ai trouvé comment s'attirer les bonnes graces du peuple, allant jusqu'à faire oublier à beaucoup le poids de l'accusation qui pèse toujours sur ses épaules.
rEnOi
vendredi 20 novembre 2009
Cinéma : 2012, la fin du monde à 200 millions de dollars.
Les mayas l’ont écri, la bible le décrit, les fous nous préviennent, en 2012 on va tous se faire niquer. Une légende plus vieille que nous tous chitoyens de
C’est cette année que Roland Emmerich veut nous livrer la fin du monde aussi effrayante que possible. Le réalisateur de génie, auteur de la série Stargate, de l’indécrottable Independance Day, du légendaire Godzilla et du mémorable Le Jour d’Après. Beaucoup le couvraient d’éloges après sa remontée après Independance Day véritable concentré d’âneries et de propagandes à la gloire des Etats-Unis. Il avait à raison lâché les extra-terrestres et les gros dinosaures qui cassent tout pour nous livrer une très bonne version inattendue de la fin du monde avec Le Jour d’Après. Pour le coup les effets spéciaux allaient de paire avec un scénario catastrophe propre et bien mené avec des enjeux d’actualité et des personnages profonds. 2012 sa dernière production avec Harald Kloser son protégé toujours à ses côtés est au final décevante et Emmerich redescend d’un niveau. Il semble qu’il a atteint le sommet de son art avec Le Jour d’Après. Mais 10 000 l’année dernière très peu apprécié et aujourd’hui 2012 ; comme l’a dit 2Pac « Lorsqu’on est au sommet on ne peut que redescendre. »
La légende du 21 décembre 2012 dont tout le monde a entendu parler devait faire un film. On attendait tous un chef-d’œuvre bien flippant et enfin la fin de l’humanité sur grand écran. Les critiques on parlé d’une énorme production à un niveau rarement atteint. Et pourtant les 200 millions n’auront pas suffit à motiver Emmerich à décupler son génie. C’est peut-être la méfiance qui grandit de nos jours envers les grandes productions telles que
Et les américains excellent dans le genre. 2012 est pour moi une grosse désillusion, je ne me fie jamais aux appréhensions des gens uniquement, mais je ne suis pas le seul à n’avoir vu que d’énormes immeubles se casser la gueule pendant près de 2h de spectacle. C’est un concentré de stéréotypes, les symboles de l’humanité s’écroulent pour montrer très « subtilement » la fin du monde, avec évidemment l’Amérique comme première cible de la nature et tous ses symboles qui font pâle figure. Mais pourtant coincés dans une multitude d’explosions à couper le souffle l’humanité semble toujours s’en sortir. Encore une fois Hollywood nous prouve son incapacité à laisser l’humanité mourir (cela pourrait pourtant être payant). Ce gros air de déjà vu devient agaçant.
On notera les personnages plus que léger. Un héros stéréotype du blasé de la vie américain, ex-écrivain qui a perdu sa famille pour cause de négligence, se retrouve chauffeur pour un gros riche. Mais qui sait miraculeusement conduire comme un cascadeur en plein milieu de la ville qui se casse la gueule et sauver tout le monde dans de grands airs chevaleresques ; sans compter les aptitudes de champion d’apnée. Un chirurgien pilote amateur qui sait voler avec un volcan au cul qui crache ses poumons et qui, sans soucis, évite toutes les boules de feu. Et un incontournable président des Etats-Unis plus noir que jamais, un gentil monsieur avec beaucoup de morale qui ne déclarerait jamais une guerre ; entouré d’une bande de méchants conseillers véreux qui ne pensent toujours qu’à faire des tunes quand le monde s’écroule. L’originalité des personnages ne semble toujours pas au rendez-vous. On donnera quand même un point pour la forme au remix en live de Noé en personne pour le grand final de l’humanité qui sauve sa peau héroïquement.
Ma critique n’engage évidemment que moi, mais sorti des effets spéciaux 2012 n’a rien d’un grand film (d’ailleurs la salle était vide). Un scénario pauvre sans fond et des personnages asthmatiques. Ma grande déception reste, aussi bizarrement que cela peut être, de voir l’humanité s’en sortir encore une fois et guidée par des américains repentis. Un air de déjà vu.
rEnOi
mardi 17 novembre 2009
Économie : Une taxe sur les taxes
lundi 16 novembre 2009
Technologie : Les nouveaux moyens de locomotions de la RCE !
vendredi 13 novembre 2009
Tendances : Hausse du chômage et sexe en berne
Socio: Même les chiens sont fidèles
Il semble que nos chitoyens n’arrivent pas encore, ou plus, à faire le lien entre raisons du cœur et raisons du corps. La facilité laisse nos sentiments parler à la belle et notre queue regarder la voisine qui nous accuse de son 90-60-90 digne d’un film porno.
La question qui se pose est : est-ce qu’avoir des couilles s’apparenterait plutôt à « en niquer le plus possible » ou à savoir se retenir de le faire pour UNE personne ?
rEnOi
Education: Le croco, la baleine et le cricket
Les relations humaines en RCE comme ailleurs sont gérées par la « conscience ». Il faut cependant reconnaître la défaillance chronique de cette petite voix aux allures de Gemini Cricket qui se laisse rapidement dépasser par ce que notre maître chien appelle « le cerveau de croco ». Trois entité se battent dans le cerveau de nos chitoyens : le cerveau de croco, dur comme le fer, la paire de couille entre deux lobs cervicaux qui nous dira toujours d’écouter notre instinct, nos envies, nos pulsions, en éloignant de nous la réflexion. C’est une boule de nerfs regardant la vie de son seul point de vue sans prendre en compte l’entourage.
La deuxième entité pourrait se faire appeler « la baleine », un stéréotype concentré des réflexes mammifères qui nous entraîne à protéger ceux qui nous sont proches, à prendre soin de nos enfants. C’est une vraie mère poule qui prend la vie avec le cœur et toujours en relation avec les autres.
Et bien entendu notre petit dernier le Gemini Cricket, le penseur invétéré. Lui nous aidera à travailler en classe, à trouver un emploi, à vivre en société. Mais c’est lui qui, à la différence des animaux, amène les chitoyens de tous âges à penser. J’irais même jusqu’à dire à trop penser et à se torturer les neurones de questions existentielles.
Posez-vous la question de savoir lequel de ces trois énergumènes domine votre cerveau et par conséquent votre vie ? Vous comprendrez peut-être alors pourquoi peu d’entre nous peuvent réellement prétendre avoir des couilles.
mercredi 11 novembre 2009
En Bref : Le mariage Zoosexuel autorisé en RCE
mardi 10 novembre 2009
Les Annonces du Caniveau
- Journal satirique trop sérieux demande vendeur de farces et attrapes pour communiquer recette poil-à-gratter.
- Belle plante empotée souhaite rencontrer jardinier aux pouces verts pour s'occuper de son bourgeon. Possibilité de s'enraciner si beaucoup de blé et grande propriété avec jardin.
- Personne vivant seul aimerait que M. et Mme Sehc-sapil cessent de réveiller le quartier lors de leurs ébats amoureux. Si dans l'impossibilité de contrôler pulsions, prière de filmer et d'envoyer au voisin du dessus, troisième porte à droite, en guise de dédommagement. En vous remerciant.
Pour toute réponse, merci de bien vouloir vous addresser à la rédaction.